Double Françoise dans la Quotidienne KR du #10 mai

SINGLE

DOUBLE FRANÇOISE • Les bijoux • (Freaksville Music)

Il était une fois, un festival de musique qui se déroulait à Cholet dans le Maine-et-Loire (Pays de la Loire). Et cela c’était avant… Toutefois c’est lors de cet événement que Maxence et Elisabeth Jutel se sont rencontrés. Ils deviennent tout d’abord un couple à la ville, puis forment rapidement un duo musical. Ce projet devient Double Françoise.

Maxence est compositeur, producteur et mult-instrumentiste, quand à Lisa, elle écrit et chante leurs chansons. Ils sont tous deux installés dans les Deux-Sèvres, plus précisément à Mauléon. Côté inspirations, ils baignent depuis leur tendre enfance dans une pop rêveuse et sucrée, celle de l’insouciance de l’adolescence peut être… Surtout celle des années 60.

Crédit photo : Stéphane Drouot.

Ainsi leur nom fait référence à un titre du groupe vocal français de la fin des années 60, The Jumping Jacques. Et c’est aussi pour eux un clin d’oeil aux Françoise qui les ont inspirées : Sagan, Dorléac, et surtout Hardy…

Ce single « Les Bijoux » annonce l’arrivée de leur prochain album qui prendra le même nom, et sortira le 5 juin sur le label belge bruxellois Freaksville Music.
Cet album disposera de dix chansons qui flirteront bon avec la pop mélodique et  mélancolique, teintée de bossa, de swing, de pop psyché, d’easy listening et de bandes sons d’années révolues. On y entendra même de vieux claviers italiens, bercés de sonorités vintages, confectionnés sur de vieux magnétophones à bande et à base de séquences Atari.

Ce single est accompagné d’une vidéo qu’ils ont co-écrits ensemble, et réalisée par Maxence. Il explique « On a voulu une ambiance visuelle feutrée, comme dans un écrin à bijoux de velours noir, dans lequel les pierres scintillent, avec une lumière spéciale, comme sur de l’eau, pour les faire miroiter. Un plan serré, un montage saccadé, pas d’histoire, pas de visages, on a voulu quelque chose d’irréel, d’onirique, sans lieu ni date. Les mains de Lisa jouent avec ses bijoux, dans un ballet paradoxal, une sorte de danse de séduction à la fois pudique et ostentatoire. »

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